Une maison joyeuse, des cris, des rires, des plaisanteries, des pics qui volent
Des amis, une famille unie, un petit ami
Avec pour seule préoccupation de savoir si notre tenue plairait à ce petit ami, si les amis s'amuseront aussi bien qu'on le souhaite
Un gâteau, une chanson, 20 bougies, un voeu
Comme j'aimerai être à la place de cette jeune fille en face de moi, timide, encore inconsciente de ce qu'elle posséde
A la place de partager ce moment avec elle, comme toute bonne petite soeur se devrait de la faire, je suis là, sur mon lit, seule avec un ordinateur et des mots pleins le coeur
Je ne sais même pas par quoi commencer. Cette douleur à la poitrine qui s'accroit en voyant ces couples? Le sentiment d'être une étrangère simple spectatrice de ce bonheur? Les larmes qui pointent leur acidité? Le ventre qui se sert?
La nostalgie, de ces moments que j'ai eu a un moment donné. De vrais amis, des amis moins proches, un homme merveilleux dans ma vie, une famille.
J'ai eu tout ça... Et maintenant, d'un coup, je me suis rendue compte que tout était parti en éclat. Les amies sont parties, les amis moins proches sont resté toujours aussi peu proches, voir ce sont éloignés, l'homme est parti dans le lit de deux autres, la famille n'est plus accueillante.
Et moi, je me retrouve seule perdue au milieu d'un océan de tristesse et de déception.
Je sais que j'ai besoin d'un homme, d'un vrai, qui me permettra de reprendre confiance en moi, en l'autre et en la vie. Retrouver une complicité, une compréhension de l'autre, partager des moments merveilleux. Peut être que retrouver simplement des amis suffirait. Je n'en sais rien....
Je ne sais même pas si je veux l'homme que j'ai déjà eu et avec qui j'ai tant appris et partagé, ou si j'en veux un autre. Pour changer du tout au tout, d'univers, de relations. Oublier.
Je ne sais pas. Je ne sais pas...
Je veux apprendre, découvrir, tester. Mais à quoi cela me mènera-t-il? Qu'est ce que j'espère trouver au bout?
Que je suis simplement jeune, naïve et que l'avenir est encore très loin devant moi?
Que ce dont j'ai besoin est sous mon nez depuis le début et que je ne veux pas l'admettre?
Je veux croire. Mais en quoi? En moi? En l'avenir? En mes souvenirs? En une relation qui m'a tenue debout pendant 2 ans?
Peut être qu'il vaut mieux ne pas croire et juste avancer. Accepter que demain est un autre jour et qu'il se passera ce qu'il doit ce passer. Ne pas se poser tant de questions et vivre pour le moment présent, sans espérer d'avenir.
Le mot d'ordre est l'incertitude.
Je ne sais pas quoi faire. Et pourtant, je prend des décisions, j'y réfléchi
Mais rien y fait, le problème est toujours le même, je ne sais pas...
ninabel
Utopiste amateur... mais où va le monde ...
Jeudi 11 novembre 2010 à 2:09
Mercredi 20 octobre 2010 à 21:57
Il est venu. Il était là, dans la nuit, tremblant de froid. Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire, j'étais contente qu'il soit là. On a parlé, sa voix m'a fait du bien. Je souriais, je partais dans mes souvenirs. Mais je ne le regardais pas. Je ne pouvais pas. Un regard sur lui et tout me montait à la figure. Alors jusqu'au bout j'ai tourné le regard. Mais ses mots ont fini par m'atteindre. "Je t'aime..."
ALORS, POURQUOI AS-TU FAIS CA?
Tout est revenu. Le dégout, la haine, les larmes, la douleur. Je pleure, sur ma fenêtre. Je pleure à sa trahison, je pleure à mon manque de dicernement. Je pleure mon amour pour lui. Et je lui dis. Je lui dis que je pleure. J'espère le voir arriver, tout essoufflé d'avoir couru pour me rejoindre. J'espère le voir détruit de me voir ainsi, prêt à escalader la façade pour me rejoindre. Mais il ne vient pas... Et je continue à pleurer, seule sur ma fenêtre. Je désespère...
Le voilà, tout essoufflé, abattu, détruit. Il me demande de descendre, me supplie de venir. Moi, j'hésite. Je sais que j'ai espéré le voir venir et qu'il est là. Je sais que je veux descendre. Mais je me bat, contre mon amour, contre ma bêtise. Malgré tout, je descend...
Il est là. Il est venu. Il est là dans la nuit, essoufflé et tremblant de froid. Je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer. J'étais contente qu'il soit là. On a parlé, j'ai parlé, en pleurant. Je lui ai déclamer ce que je ressentais. Je lui ai avoué ce que je me retenais de lui dire depuis samedi. Ce que j'ai en parti écrit cette nuit, pour m'empêcher de lui envoyer un message. J'ai oublié qu'il était là. Je parlais à Seb', à mon amour. J'espérais qu'il était là quelque part à m'écouter. Il pleurait. Il à pleuré tout du long. Quand mes larmes et mes mots se sont taris, j'ai fermé les yeux. Je voulais m'envoler loin d'ici. Oublier tout ça et le retrouver. Quand j'ai ouvert les yeux, il pleurait toujours...
Je me suis forcée et je suis partie. Vidée. Comme une coquille vide
ALORS, POURQUOI AS-TU FAIS CA?
Tout est revenu. Le dégout, la haine, les larmes, la douleur. Je pleure, sur ma fenêtre. Je pleure à sa trahison, je pleure à mon manque de dicernement. Je pleure mon amour pour lui. Et je lui dis. Je lui dis que je pleure. J'espère le voir arriver, tout essoufflé d'avoir couru pour me rejoindre. J'espère le voir détruit de me voir ainsi, prêt à escalader la façade pour me rejoindre. Mais il ne vient pas... Et je continue à pleurer, seule sur ma fenêtre. Je désespère...
Le voilà, tout essoufflé, abattu, détruit. Il me demande de descendre, me supplie de venir. Moi, j'hésite. Je sais que j'ai espéré le voir venir et qu'il est là. Je sais que je veux descendre. Mais je me bat, contre mon amour, contre ma bêtise. Malgré tout, je descend...
Il est là. Il est venu. Il est là dans la nuit, essoufflé et tremblant de froid. Je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer. J'étais contente qu'il soit là. On a parlé, j'ai parlé, en pleurant. Je lui ai déclamer ce que je ressentais. Je lui ai avoué ce que je me retenais de lui dire depuis samedi. Ce que j'ai en parti écrit cette nuit, pour m'empêcher de lui envoyer un message. J'ai oublié qu'il était là. Je parlais à Seb', à mon amour. J'espérais qu'il était là quelque part à m'écouter. Il pleurait. Il à pleuré tout du long. Quand mes larmes et mes mots se sont taris, j'ai fermé les yeux. Je voulais m'envoler loin d'ici. Oublier tout ça et le retrouver. Quand j'ai ouvert les yeux, il pleurait toujours...
Je me suis forcée et je suis partie. Vidée. Comme une coquille vide
Mercredi 20 octobre 2010 à 21:38
3h13 sur une feuille volante:
Peut importe où je suis, il faut que j'écrive, que je me décide enfin à faire face et à écrire ce que je ressent.
Il me ronge. Mon amour pour lui est comme un grain de sable incandescent qui me brûle de l'intérieur. Il me manque. Je veux le voir, lui parler, sentir que je suis importante à ses yeux... Mais je ne sais même plus de qui je parle. Le Sébastien que j'ai aimé ces derniers temps ne semble pas avoir été réel. Il n'était qu'une image que le vrai Seb', le menteur, le manipulateur, m'a envoyé de lui. Et moi, comme la pauvre conne que je suis, j'y ai cru. J'y ai réellement cru. J'ai cru à ses mots d'amour. J'ai cru à son retour. J'ai cru à nos vacances. J'ai cru au camping juste tout les deux où vivre ensemble semblait être naturel. J'étais prête à passer des caps.
Mais nan, rien n'était vrai. Il m'a menti et pas seulement sur la fin. Il n'a pas seulement couché avec une autre. Cela a été juste la partie émergée de l'iceberg noir qu'il a fait de notre relation.
Je ne sais pas quoi faire. Je ne sais pas si il faut que j'attende encore une fois, au risque qu'il se paye de nouveau mon coeur, ou si je me décide enfin à le laisser, pour de bon, et partir voir si l'herbe ne serait pas plus verte ailleurs...
Je les vois, nus tout les deux.
J'ai envi de vomir, de me lacérer le corps, ce corps qu'il a touché et pénétré au plus profond. Je me sens sale, humiliée dans ma propre intimité. C'est affreux et montre à quel point je suis atteinte. Je voudrais qu'il voit mes mots, qu'il souffre et qu'il me montre et me prouve que ses mots ne sont pas des mensonges. J'ai besoin de me rattacher à quelque chose, n'importe quoi.
Je vais sombrer...
J'ai tout donner pour lui. J'ai donné mes amis, l'écriture, le dessin, la musique. J'ai tout abandonné à son regard et maintenant je n'ai plus rien. Plus rien que cet amour fictif qui me brule intérieurement.
Ma lampe est en forme d'étoile.
C'était lui mon étoile. Mon guide. Mon réconfort. C'était l'étoile qui était toujours à pour moi, pour me soutenir et éclairer mon chemin dans la nuit. Cette étoile n'était qu'un beau rêve... Et le réveil est douloureux...
Peut importe où je suis, il faut que j'écrive, que je me décide enfin à faire face et à écrire ce que je ressent.
Il me ronge. Mon amour pour lui est comme un grain de sable incandescent qui me brûle de l'intérieur. Il me manque. Je veux le voir, lui parler, sentir que je suis importante à ses yeux... Mais je ne sais même plus de qui je parle. Le Sébastien que j'ai aimé ces derniers temps ne semble pas avoir été réel. Il n'était qu'une image que le vrai Seb', le menteur, le manipulateur, m'a envoyé de lui. Et moi, comme la pauvre conne que je suis, j'y ai cru. J'y ai réellement cru. J'ai cru à ses mots d'amour. J'ai cru à son retour. J'ai cru à nos vacances. J'ai cru au camping juste tout les deux où vivre ensemble semblait être naturel. J'étais prête à passer des caps.
Mais nan, rien n'était vrai. Il m'a menti et pas seulement sur la fin. Il n'a pas seulement couché avec une autre. Cela a été juste la partie émergée de l'iceberg noir qu'il a fait de notre relation.
Je ne sais pas quoi faire. Je ne sais pas si il faut que j'attende encore une fois, au risque qu'il se paye de nouveau mon coeur, ou si je me décide enfin à le laisser, pour de bon, et partir voir si l'herbe ne serait pas plus verte ailleurs...
Je les vois, nus tout les deux.
J'ai envi de vomir, de me lacérer le corps, ce corps qu'il a touché et pénétré au plus profond. Je me sens sale, humiliée dans ma propre intimité. C'est affreux et montre à quel point je suis atteinte. Je voudrais qu'il voit mes mots, qu'il souffre et qu'il me montre et me prouve que ses mots ne sont pas des mensonges. J'ai besoin de me rattacher à quelque chose, n'importe quoi.
Je vais sombrer...
J'ai tout donner pour lui. J'ai donné mes amis, l'écriture, le dessin, la musique. J'ai tout abandonné à son regard et maintenant je n'ai plus rien. Plus rien que cet amour fictif qui me brule intérieurement.
Ma lampe est en forme d'étoile.
C'était lui mon étoile. Mon guide. Mon réconfort. C'était l'étoile qui était toujours à pour moi, pour me soutenir et éclairer mon chemin dans la nuit. Cette étoile n'était qu'un beau rêve... Et le réveil est douloureux...
Jeudi 1er avril 2010 à 21:57
Une voix claire au loin, une voix d'enfant. Un petit garçon s'écrit:
"-Maman, regardes! Tu vois le gris dans le ciel? Il est aussi sur les maisons. C'est du brouillard!
-Maman cours, on va rentrer dans le brouillard. Regardes, maman, c'est rigolo. Je te vois plus.
-...
-Maman, tu es où? Maman...
Réponds moi maman! C'est plus drôle!
Maman... Où est-tu?
...
...
-Maman!!!"
"Maman!"
Le petit garçon est sur son lit, il ne comprend pas.
La porte de sa chambre est entrebâillée. De la lumière et des voix lui parviennent.
"-Je suis vraiment désolé monsieur. On a retrouvé sa voiture en bas du fossé. Avec le brouillard, il est probable qu'elle n'est pas vu le virage."
Des sanglots.
Le petit garçon sort de sa chambre. Il y a deux monsieurs en bleu dans le salon. Son père lève la tête en l'entendant. Son visage est plein de larmes.
"- Dis papa, elle est où maman?
- Mon chéri...
-Pourquoi tu pleures papa?
-...
-Maman est partie dans le brouillard mon coeur, elle ne reviendra pas.
-Elle ne m'aime plus?!
- Oh si mon chéri elle t'aime... Mais elle devait partir, elle n'a pas eu le choix..."
La voix de son père se cassa. Le petit garçon se blotti dans les bras de son père.
"-Ne pleure pas papa. Je ne suis pas parti moi, je suis là..."
"-Maman, regardes! Tu vois le gris dans le ciel? Il est aussi sur les maisons. C'est du brouillard!
-Maman cours, on va rentrer dans le brouillard. Regardes, maman, c'est rigolo. Je te vois plus.
-...
-Maman, tu es où? Maman...
Réponds moi maman! C'est plus drôle!
Maman... Où est-tu?
...
...
-Maman!!!"
"Maman!"
Le petit garçon est sur son lit, il ne comprend pas.
La porte de sa chambre est entrebâillée. De la lumière et des voix lui parviennent.
"-Je suis vraiment désolé monsieur. On a retrouvé sa voiture en bas du fossé. Avec le brouillard, il est probable qu'elle n'est pas vu le virage."
Des sanglots.
Le petit garçon sort de sa chambre. Il y a deux monsieurs en bleu dans le salon. Son père lève la tête en l'entendant. Son visage est plein de larmes.
"- Dis papa, elle est où maman?
- Mon chéri...
-Pourquoi tu pleures papa?
-...
-Maman est partie dans le brouillard mon coeur, elle ne reviendra pas.
-Elle ne m'aime plus?!
- Oh si mon chéri elle t'aime... Mais elle devait partir, elle n'a pas eu le choix..."
La voix de son père se cassa. Le petit garçon se blotti dans les bras de son père.
"-Ne pleure pas papa. Je ne suis pas parti moi, je suis là..."
Mercredi 10 mars 2010 à 17:53
Un sourire...
Pour moi?
Rêve pas trop ma belle
Au fond, t'es ptetre juste la potiche de service...
Pour moi?
Rêve pas trop ma belle
Au fond, t'es ptetre juste la potiche de service...