ninabel

Utopiste amateur... mais où va le monde ...

Samedi 12 décembre 2009 à 22:09

Que crois-tu entendre?
Que crois-tu sentir?
Est-tu certain que ce soit la vie que tu cherches?
Ne serais-ce pas plutôt une belle illusion?
Tout dépend du point de vue que tu donne aux choses. N'importe quel évènement, selon la façon dont tu tournes ta vision, peut être alors, soit "bon", soit "mauvais".  "L'homme libre est celui qui est capable de tirer avantage de chaque situation"
Tu ne peux pas changer le monde, seulement la vision que tu as de lui. Mais pour autant, faut-il vraiment toujours s'arranger pour voir les choses sous un angle qui nous arrange?
Il est vrai qu'il est difficile de répondre à cette question négativement. Qui refuserais de supprimer une partie de la douleur que peut apporter certains évènements, ou de ne plus éprouver ni regrets ni remords? Qui refuserais de vivre et de penser d'une manière qui lui apporte une liberté quasi-absolu dans ces choix et actions?
Si seulement, on pouvait également prendre en compte le point de vue des autres... Parce que, pour les autres, le mal est là, la douleur parfois, le regret...


Samedi 12 décembre 2009 à 21:25

Une envie de certitude, de chaleur et de sécurité.
Besoin de sentir que tout est à sa place et que je suis à la mienne.
Besoin de dormir pour de bon.
Besoin de réponses à toutes ses questions qui se bousculent dans ma tête.

J'aimerais que les pulsions qui m' habitent ne soient pas miennes. J'aimerais ne pas ressentir cette frustration et cette déception face à des évènements qui devraient me détendre et relâcher mon stress.
J'aimerais ne pas être dans cet état de vide, de fatigue absolue et d'anemie. Pourquoi la Nature nous a-t-elle faite si vulnérables une fois par mois?
C'est déjà suffisamment difficile à gérer comme ça sans devoir en plus supporter ce retour à un besoin de lui...

J'ai le cerveau en mode "veille", rien n'en sort. A peine capable de lire une ligne d'Eragon en entière et en comprenant le sens des mots pour former une phrase qui a du sens.
Je n'arrive plus à déterminer si il me manque et si je l'aime ou si c'est juste une habitude qui me manque.
Est-ce que c'est de lui dont j'ai besoin ou est-ce de quelqu'un qui pourrait me soutenir comme il l'a fait?

J'espère que les prochaines vacances me feront du bien. Retour aux "sources", dans un environnement familier et chaleureux. Loin de lui et sans raison de contact.
Les gens vont et s'en vont. Le ciel, lui, est comme la famille: il change mais reste toujours présent à nos côtés.

Je voudrais ne plus ressentir le besoin de sa présence à mes côtés. Il n'y a rien de pire que de vouloir, de sentir que la seule chose qui pourrait nous faire de bien, c'est d'être simplement dans ses bras, au chaud, en sécurité, contre un homme qui vous aime, et de savoir également que cet homme ne vous aime plus, ou tout du moins qu'on ne peut plus lui demander de venir pour nous.
Même si je sais que quand j'étais dans cet état et que je voulais qu'il vienne, je ne lui ai jamais demandé. Pourquoi? C'est encore une question que je me pose.

Des pensées en vrac. Pas vraiment capable de faire mieux. Juste besoin d'écrire et de sortir ses paroles de mon crâne surchargé.
Enfin, j'ai tendance à me dire que ma situation pourrait être pire... Il y a toujours plus pire que soit ^^
Je devais travailler aujourd'hui... Une belle semaine de bac blanc et contrôle en tout genre en perspective. Mais mon corps fait la grève aujourd'hui.

Mercredi 2 décembre 2009 à 22:41

Besoin d'écrire...
Je suis mal, vraiment. Je n'ai pas ressenti cette douleur si spéciale depuis longtemps. Une douleur teintée d'amertume, de regret, de déception, de colère. Un froid qui paralyse et qui fait si mal. L'impression de n'être plus rien. Plus qu'un vulgaire bout de chair avec qui quelqu'un peut s'amuser et jouer. Je me sent pantin, mes fils sont constitués avec mes sentiments. Car il sait qu'il peut faire de moi ce qu'il veut... Mais je n'aurais jamais pensé qu'il le voudrait et le ferait.
Je n'arrive même pas à sortir quelque chose de correct. Je crois que je suis encore en état de choc post-traumatique.
J'étais presque bien hier soir, comme je ne l'avais jamais été depuis pas mal de temps. Même si je ne comprenais pas la raison profonde de son comportement, j'avais tenu, on a passé de bons moments, agréables même. Mais pof, envolé.
En fait, les mots restent coincés. Ils sont tous bloqués dans cette boule qui enfle au niveau de ma gorge. Elle grandit à chaque coups de pics que je reçois dans le coeur. Je vous laisse imaginé le nombre de coups reçus depuis maintenant quatre heures...

Ce que j'écris est vraiment ignoble... Désolé pour ma mauvaise prestation de ce soir. Les évènements ne tournent pas toujours en faveur des mots.



http://ninabel.cowblog.fr/images/image/eaunoire.jpg

J'ai des fois l'impression d'aimer un homme qui n'existe plus...

Lundi 30 novembre 2009 à 17:24

Parce qu'il y a des moments où tout semble confus.
Parce que je me réveille sans savoir où je suis.
Parce que j'ai l'impression que mes rêves sont des cauchemars.
Parce que j'ai peur de rêver.
Parce que je voudrais dormir, enfin, et me réveiller dans longtemps.
Parce que je me vois changer jour après jour, je me vois extérieurement.
Parce que je n'arrive pas à penser sur le moment, que je dis des choses que je ne devrais pas dire.
Parce que ma mémoire me joue de plus en plus de tours.
Parce que la balance ne cesse de changer d'avis.
Parce que malgré tout j'ai la gerbe en continu.
J'aimerais m'en aller....
Partir loin, dans la nuit. Me lever, quitter ce siège et m'échapper dans le froid.
Je voudrais que la musique m'emporte enfin, qu'elle emporte mes pensées, mes souvenirs.
Je voudrais de plus avoir son nom en tête au moment de me coucher. Je voudrais ne plus avoir son visage quand je ferme les yeux. Je voudrais ne plus me rappeler de ses caresses et de ses paroles. Je voudrais qu'il arrête enfin de me torturer au quotidien.

Je voudrais m'envoler...


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Vendredi 27 novembre 2009 à 22:15

Il y a des moments où je suis fière de moi. Je tiens. Je souris sincèrement. J'ai plaisir à être avec les autres. Je n'ai plus peur de le voir. Je remonte la pente. Je suis paisible en admirant le ciel.
Pourtant, il suffit de peu pour que cette fragilité explose en milles morceaux. Juste un petit mot, sans forcément de rapport, et voilà mon petit cerveau qui se met en marche pour m'apporter des pensées qui me plongent dans un état de nostalgie, de vide. A ces instants, le monde reprend sa teinture sombre et le ciel s'assombrit.
Et puis, surtout, il y a ces rêves. Ces horribles rêves desquels je me réveille détruite, chamboulée. Je ne peux alors plus le regarder.
Mes rêves, mon imagination, mon envie de m'enfuir, mon envie de sa compagnie, ma gerbe sur le chemin du lycée,... tout cela me rappelle que je l'ai dans la peau, ce petit homme.
Il me manque...

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